Ladies’ Fantasies Club est un duo de rock acoustique / pop alternatif provenant de Saint-Vith, fondé fin 2013 par Jean-Yves Szmida (chant, guitare acoustique). A l’origine, c’était un projet solo, et Joshua Cremer (batterie ou percussions) a rejoint Jean-Yves au cours de l’année 2014.
La musique de LFC, c’est la rencontre de mélodies accrocheuses avec des arrangements intelligents. Les textes en anglais sont parfois romantiques, parfois ironiques.
Not only for ladies!
Le premier EP « Promises » (5 titres ; masterisé par Christian Wright [Ed Sheeran, Coldplay,…] aux studios Abbey Road, Londres) est disponible depuis juin 2015.
Le 2e single et le clip « Something’s Wrong » ont vu le jour mi-avril 2016 (produit et masterisé par Dany Gallo [Domguè, Marie de Condé, Wise Guys, Seth Gueko…]) et connaissent déjà un réel succès.
En janvier 2017 apparaît le nouveau single « Hats », produit et mastérisé par Danny Gallo.
En 2018, le duo est soutenu par le programme Ca Balance de la Province de Liège. Le fruit de cette collaboration est, entre autres, le release de leur single « Born in the Shadows », qui se trouve sur la compilation Ca Balance 2018.
Sur les routes depuis fin 2013, Ladies’ Fantasies Club a plus de 80 concerts (solo ou duo) à son actif et a déjà su séduire son public en Belgique, Allemagne, Autriche, Luxembourg, France et Angleterre (entre autres au club prestigieux « The Troubadour » à Londres).
Citons Pierre Paulus, rédacteur chez Classic 21 de la RTBF pour l’émission « Génération 21 » : « […] À la barre de ce club musical et fantaisiste, lancé en 2013, nous retrouvons Jean-Yves et Joshua. Le duo revient sur les origines du groupe : ‘Jean-Yves sortait d’un autre projet, Pan!c TV. Il a toutefois continué à écrire des chansons, seul à la guitare.’
Avant que Joshua, batteur, complète le projet un peu plus tard. Ensemble, ils composent des titres qu’ils comparent à des extraits de vie, teintés de romance et d’ironie. Avec un côté cinéphile, pas très éloigné de l’ambiance des films de Tarantino. Jean-Yves précise que ‘selon le thème de la chanson, nous la garnissons de nouveaux éléments.’ Comme le voyage immobile, toujours rattrapé par les racines, ancrées loin des grandes métropoles,
où la musique alimente les expériences. […] »
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